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Note moyenne de cet épisode: 13.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 8
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russel 
13.0
13.0
On l'avait compris depuis le début, ce qui intéressait les auteurs de Black Sails dans les histoires de piraterie, ce n'était pas nécessairement l'aspect épique et aventureux mais plus le côté complot, cette Histoire qu'on tisse dans les alcôves en conspirant les uns contre les autres. C'est d'ailleurs ouvertement résumé vers la fin de ce final par Rackham en mode je suis à la retraite et je radote. Le souci c'est que ce parti pris aura quand même pas mal plombé le show sur ses quatre saisons et que ça n'aura pas aidé non plus la conclusion à me subjuguer véritablement.
Certes on règle les contentieux pirates/anglais, mais j'espérais un truc plus dingue quand tout tire au compromis raisonnable que je ne pense même pas imposé par un souci d'authenticité historique quelconque. Le pire étant de nous faire croire que l'idéaliste Flint puisse se contenter qu'on le pacse avec son amour de jeunesse sorti du fond de tiroir plutôt que de voguer vers de nouveaux rivages sauvages. C'est quand même pas brillantissime. Au moins il n'a pas lâché à ses équipiers ingrats le magot qu'il avait planqué la semaine passée. Maigre consolation. Mon côté fleur bleue se satisfera du couple préservé Rackham Bonny même si promis à pantoufler désormais.
Le bilan de la série n'en reste pas moins positif malgré ses blablas indigestes. Pour sa reconstitution historique extrêmement soignée et séduisante notamment et par son casting pas forcément classe A mais regroupant des gueules qui ont su sublimer leurs rôles de boucaniers. Flint, Silver, Rackham, Bonny, Vane... ça avait de l'allure. J'aurais juste souhaité qu'ils nous emmènent plus loin, qu'ils nous fassent un peu plus rêver.
Certes on règle les contentieux pirates/anglais, mais j'espérais un truc plus dingue quand tout tire au compromis raisonnable que je ne pense même pas imposé par un souci d'authenticité historique quelconque. Le pire étant de nous faire croire que l'idéaliste Flint puisse se contenter qu'on le pacse avec son amour de jeunesse sorti du fond de tiroir plutôt que de voguer vers de nouveaux rivages sauvages. C'est quand même pas brillantissime. Au moins il n'a pas lâché à ses équipiers ingrats le magot qu'il avait planqué la semaine passée. Maigre consolation. Mon côté fleur bleue se satisfera du couple préservé Rackham Bonny même si promis à pantoufler désormais.
Le bilan de la série n'en reste pas moins positif malgré ses blablas indigestes. Pour sa reconstitution historique extrêmement soignée et séduisante notamment et par son casting pas forcément classe A mais regroupant des gueules qui ont su sublimer leurs rôles de boucaniers. Flint, Silver, Rackham, Bonny, Vane... ça avait de l'allure. J'aurais juste souhaité qu'ils nous emmènent plus loin, qu'ils nous fassent un peu plus rêver.
